Les réponses à nos questions posées en amont du conseil municipal du 11 février 2019

1) A priori, selon nos informations, les charges de copropriété du Lotissement le Clos du Parc n’ont toujours pas diminué, pouvez-vous nous faire un point sur la procédure de rétrocession ainsi que sur celle concernant le lotissement la Bergerie ?
Concernant le Clos du Parc : Les copropriétaires ont approuvé, en Conseil syndical, la décision de rétrocession qui exclue la partie réseau d'eau, il reste maintenant au géomètre à effectuer le relevé des voiries et à transmettre au Livre Foncier pour que l'opération soit terminée.
Concernant le lotissement La Bergerie : la municipalité a décidé de laisser s'écouler un certain délai (2 hivers)  afin de faire apparaître d'éventuels défauts qui pourraient grever la reprise du bien.

2) Pouvez-vous nous faire un point d'étape sur les avancées du projet de rénovation du PLU (terrain à côté du collège, terrain derrière le Kebab (projet KREMER-JACQUET, zonage, projet de création d'une maison médicale, changement de propriétaire du bâtiment de La Poste ...etc.) ?
Madame le Maire a montré beaucoup de réticences à nous répondre sur tous les points nous précisant que Monsieur GODIN du Cabinet CDHU présenterait, fin février, un condensé des propositions du groupe sur le zonage.

3) Pouvez-vous nous faire un point sur l'état d'avancement du projet mené rue des Chenevières depuis l'acquisition du terrain par la Société NKFM et consorts ?
Le Permis d'aménager a été délivré le 9 janvier et la société NKFM sera définitivement propriétaire du terrain en mars. Madame le Maire est en discussion avec le propriétaire privé sur le terrain duquel abouti le chemin communal qui devrait être créé afin d'obtenir un droit de passage sur cette parcelle privée. Il restera, ensuite, à résoudre les difficultés techniques liées à sa réalisation pratique.

4) Qu'en est-il de la mission confiée à Madame SPIELMANN sur la parcelle N°16 du lotissement La Ronceraie ?
La tranche optionnelle du MP (logement participatif) concernant cette parcelle est abandonnée et Madame SPIELMANN ne sera donc pas rémunérée pour cette mission qui n'a pas abouti.

5) Pouvez-vous nous faire le point sur l’avancement du dossier "assurances" suite à l'effondrement du mur du Parc du château dont vous avez indiqué, lors de la cérémonie de présentation de vos vœux, qu'il venait d'aboutir ?
Les experts se sont mis d'accord et leurs conclusions ont été adressées aux compagnies d'assurances. La mairie reste en attente du versement à percevoir. Nous avons demandé si la responsabilité du MOe Monsieur THALGOTT, avait été engagée compte tenu des lourds manquements à sa mission. Madame le Maire nous a assuré qu'effectivement, une part de responsabilité lui incombait tout en nous indiquant qu'il devrait retravailler le projet d'origine à l'issue de la séquence "assurances".

6) La garantie de repousse figure-t-elle en toutes lettres et sans réserve dans le contrat signé avec le paysagiste qui a planté les arbres de La Ronceraie sachant que ceux-ci l'ont été en période de gel et de neige après stockage d’environ un mois sur un terrain ennoyé ?
Effectivement, cette garantie n'a pas été dénoncée par le paysagiste, elle pourra donc être mise en jeu.

7) Lors d'une précédente séance du Conseil Municipal, nous vous avions interrogée sur le type de moyens financiers que vous souhaitiez mobiliser pour faire aboutir le projet de réhabilitation de la rue du Château, vous nous aviez indiqué y réfléchir. En espérant que votre réflexion est désormais aboutie, pouvez-vous, dès lors, répondre à notre questionnement ?
Nous avons découvert "avec surprise" que c'est le surplus dégagé par la vente des parcelles de La Ronceraie qui est destiné à financer les travaux de réhabilitation de la rue du Château (pour l'instant, le compte n'y est pas !!!). Un emprunt devrait être souscrit et la municipalité compte sur l'obtention des subventions sollicitées. Madame JAGER-WEBER a tenu à rappeler qu'il était illusoire d'attendre plus de 20% de financement par le biais de la subvention au titre du dispositif AMITER.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire